
"Le sport m’a rendue plus forte. Je me sens aujourd’hui l’égale des garçons."
En Inde Plan International encourage les filles à pratiquer un sport pour leur permettre de prendre confiance en elles et de s’affirmer dans un des pays les plus dangereux du monde pour les femmes. Comme Puja, de nombreuses jeunes filles ont pu trouver une nouvelle motivation dans le sport et renverser les stéréotypes.

La mine m’empêchait de croire en moi mais l’école m’a offert un second souffle
En Tanzanie, l’âge légal minimum pour travailler est fixé à 14 ans, et l’âge moyen pour travailler dans les mines est de 18 ans. Pourtant, plus de 70 % des enfants de 5 à 17 ans travaillent. Plan International intervient auprès des enfants travailleurs pour les sortir de cette situation illégale et les réinsérer à l’école. Découvrez l’histoire de Limi, 11 ans, qui était obligée d’aller travailler dans la mine pour survivre avant d'être aidée par Plan International.

Tort, ancienne enfant parrainée en situation de handicap, défend l’éducation dans son village
Tort, 23 ans, est née dans une des campagnes les plus pauvres du Cambodge, avec un seul bras. Parrainée très jeune, elle a pu suivre grâce à Plan International une scolarité brillante malgré son handicap. Aujourd’hui, elle s’investit pour promouvoir l’éducation dans sa communauté et rêve d’enseigner au lycée.

Grâce à Plan International, j’ai abandonné ma pioche pour un crayon
Daudi, 17 ans, a dû travailler pendant de longues années dans une mine d’or en Tanzanie Grâce aux actions de l’ONG Plan International pour lutter contre le travail des enfants dans la région de Geita, l’adolescent a pu sortir des mines et retourner à l’école. Découvrez le témoignage de ce garçon dont les rêves se sont réalisés.

Mon travail ? Convaincre les familles de laisser leurs filles suivre une formation professionnelle
Anamika Sharma, coordinatrice du projet Saksham pour Plan International en Inde, partage avec nous les difficultés de son métier sur le terrain auprès des familles issues des bidonvilles de Dehli.

Je suis devenue couturière alors que j’étais enfant-soldat !
Fin 2013, des mouvements de rébellion éclatent en République Centrafricaine causant la mort de milliers de personnes et la dislocation de centaines de familles. Les enfants, dont des jeunes filles, sont enrôlés dans les groupes armés de gré ou de force. Plan International aide des centaines d’anciens enfants-soldats. Découvrez le témoignage de Rosalie, 16 ans, maintenant couturière.

Ma fille est morte après son excision
« J'avais une fille, une fille merveilleuse », raconte Nega, 48 ans, imam de son village au sud du Mali. « Je ne voulais pas qu’elle soit excisée, mais une des femmes de mon père l'a emmenée dans un village voisin. Quand elle l’a ramenée, ma fille saignait abondamment et au bout de 3 jours, elle est morte. » Témoignage.

Je veux éradiquer l’excision de mon village !
Sensibilisée très tôt aux dangers de l’excision grâce à l’ONG Plan International, Amel, à 9 ans, a pu convaincre ses parents de ne pas être excisée. Aujourd’hui, à son jeune âge, elle lutte pour sensibiliser sa communauté et mettre fin à l’excision dans son village. Découvrez son témoignage.

J'ai été excisée à 8 ans
Aisha vit en Guinée Bissau. Elle avait 8 ans quand sa grand-mère a voulu qu'elle soit excisée. Elle témoigne.
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