Plan International France : En quoi consiste le métier de Chargée des libéralités ?
N.B. : En tant que Chargée des libéralités, je suis l’interlocutrice principale de toute personne souhaitant s’informer sur les possibilités de faire un legs, une donation ou de souscrire une assurance-vie en faveur de notre ONG.
J’apporte toutes les informations nécessaires et conseille les personnes souhaitant soutenir nos projets en faveur des droits des enfants.
Être à l’écoute, conseiller et répondre aux questions sont trois composantes majeures de mon métier, afin d’accompagner au mieux nos testateurs et bienfaiteurs, dans leur projet de transmission.
Plan International France : Pourquoi avez-vous choisi Plan International pour exercer ce métier ?
N.B. : J’ai rejoint Plan International il y a 3 ans, car la cause des enfants me touche particulièrement : ils représentent notre avenir.
Je connaissais Plan International par l’intermédiaire d’amis, eux-mêmes parrains. Lorsque l’opportunité de rejoindre cette ONG s’est présentée, je n’ai pas hésité à envoyer ma candidature, car je connaissais déjà son sérieux et ses modalités d’intervention sur le terrain auprès des enfants vulnérables et de leur famille.
Plan International France : Quelle est votre relation avec les testateurs ?
N.B. : Ma relation avec les testateurs varie d’une personne à l’autre.
Je les informe régulièrement des actualités de Plan International, grâce à notre journal d’information et notre rapport annuel d’activités. Il y a également des rencontres, des échanges téléphoniques...
L’essentiel est de respecter la relation que le testateur souhaite avoir avec notre ONG : je m’adapte aux souhaits et besoins de chaque testateur et bienfaiteur.
Plan International France : Qu’aimez-vous le plus dans ce métier ?
N.B. : Les rencontres : écouter les histoires de vie personnelles et accompagner le projet de transmission de nos testateurs, c’est très inspirant.
C’est un privilège pour Plan International France de se voir confier le patrimoine de toute une vie, voire de plusieurs, pour mener ses actions en faveur des enfants et des jeunes vulnérables.
Plan International France : Une anecdote à partager ?
N.B. : Mon métier n’est pas très répandu, aussi lorsque je dis que je suis en charge des libéralités (legs, donations et assurances-vie) au sein d’une ONG, les gens pensent que je suis juriste !