« Je sais que nous devons nous protéger de cette maladie », déclare Kaligueta, 15 ans, parrainée par une Française dans le cadre de notre programme de parrainage. Kaligueta vient de participer à une séance de sensibilisation sur la COVID-19 et comprend maintenant beaucoup mieux ce qu’est la maladie et comment elle peut s’en protéger.
Au Burkina Faso, environ 50 000 enfants burkinabés sont parrainé·e·s avec Plan International et ont tous été touché·e·s par notre travail d’intervention d’urgence dans le cadre de la COVID-19. Dans la seule région du Centre-Nord, plus de 11 000 enfants parrainé·e·s et leurs proches participent à notre campagne de sensibilisation.
Dans le village de Kaligueta, dans le département de Boussouma, aucun cas n’a été officiellement enregistré. Cependant, compte tenu du risque élevé de transmission dans une région qui accueille des dizaines de milliers de personnes déplacées à l’intérieur du pays, Plan International sensibilise à la maladie et enseigne comment s’en protéger.
À Boussouma, les efforts de sensibilisation de Plan International atteignent l’ensemble de la communauté, comme l’explique Kaligueta. « J’ai vu les bénévoles de Plan International dans le village, ils enseignent aux gens comment combattre la maladie. Maintenant, les familles savent comment cela se transmet et comment se protéger. Comme mon père est tailleur, nous lui avons demandé de coudre des masques pour toute la famille. »
Lors de notre visite au village de Kaligueta, nous la rencontrons dans la cour de sa maison où elle vit avec sa famille. Notre équipe d’intervention d’urgence utilise des affiches pour illustrer les mesures de prévention que tous les membres de la famille doivent suivre.
Kaligueta résume ce qu’elle a appris lors de la formation : « J’ai compris qu’il faut se protéger de cette maladie. Je dois porter un masque, me laver les mains avec du savon et me tenir à distance des autres. »
Avant de partir, notre équipe d’intervention enseigne à Kaligueta et à sa mère comment fabriquer un simple appareil de lavage des mains. « Il y a un réservoir d’eau, du bois et du fil. En pressant le bois, qui sert de pédale, le récipient bascule et verse de l’eau », explique Kaligueta. Le dispositif a été mis en place dans la cour familiale afin qu’il puisse être utilisé par tout le monde quotidiennement.
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