Balkissa a 10 ans, elle vit au Mali. Elle n’était jamais allée à l’école et ne savait ni lire ni écrire. Grâce au programme d’apprentissage accéléré de Plan International dans sa communauté, la petite fille a pu être scolarisée. Elle rêve maintenant de devenir infirmière !
Le Mali est un des plus pauvres pays d’Afrique. La plupart des enfants doivent marcher 4 à 8 kilomètres pour aller à l’école. Le taux de scolarisation est faible, surtout pour les filles. Les taux de redoublement et de décrochage scolaire, eux, sont élevés.
Jusqu’à il y a quelques mois, Balkissa, 10 ans, n’avait jamais été à l’école. Elle aidait sa mère à faire les tâches ménagères et elle vendait des condiments au marché du coin.
Elle ne pouvait ni lire, ni écrire, ses perspectives d’avenir étaient faibles.
L’ONG Plan International a mis en place un programme d’éducation accéléré pour aider les enfants et surtout les filles comme Balkissa à être scolarisé·e·s et à avoir un avenir meilleur.
Ce programme scolaire accéléré dure 9 mois. C’est souvent la première fois que les enfants vont en classe. Ils peuvent rattraper leur retard scolaire et réintégrer ensuite l’école primaire avec le même niveau d’études que les autres élèves.
« Je peux maintenant lire et écrire. »
Dans le village de Balkissa, le centre d’apprentissage accéléré a été ouvert au début de l’année scolaire.
Balkissa est heureuse, elle est allée à l’école pour la première fois. 25 autres élèves, dont 15 filles, tous et toutes de la même communauté ont eu aussi cette chance.
« Je suis vraiment douée avec mes leçons, ma maman ne me donne plus de tâches qui m’empêcherait de me rendre au centre. Je peux maintenant lire et écrire dans ma langue, le Bambara ! »
L’équipe du centre travaille étroitement avec la communauté pour identifier les autres enfants déscolarisés, particulièrement les filles et les enfants en situation de handicap.
L’équipe est aussi formée à l’éducation inclusive et à l’égalité filles-garçons.
Rester à l’école est un défi pour beaucoup d’enfants, encore plus pour les filles. Plan International sensibilise au fait qu’une fille scolarisée a plus de chance de prendre de meilleurs décisions pour elle, d’être en meilleure santé et épanouie à l’âge adulte et qu’elle transmettra cela à ses enfants.
Balkissa est pleine d’espoir. Elle veut continuer ses études après le programme d’apprentissage du centre et ses parents l’encouragent.
« Je veux étudier jusqu’au plus haut niveau et avoir un diplôme d’infirmière. Je pourrais alors prendre soin des enfants de mon village », explique-t-elle.
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📢Plan International alerte : la crise alimentaire mondiale, aggravée par la guerre en #Ukraine, entraîne une hausse inquiétante des mariages d’enfant. Déscolarisation, violences, grossesses précoces…les filles sont les plus à risque! Pour en savoir +⤵️ https://t.co/ZOH9cVTPWG https://t.co/bE9Sqp0nh8
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