Au Nigéria, 82 lycéennes viennent d’être libérées. Depuis le 14 avril 2014, elles étaient 270, retenues de force par Boko Haram. Si certaines d’entre elles ont pu s’échapper ou être libérées, 113 demeurent captives. Plan International demande leur libération.

82 des lycéennes enlevées par Boko Haram viennent d’être libérées

Des milliers d’enfants disparus

Les lycéennes, détenues depuis le 14 avril 2014, viennent d’être libérées et leur calvaire semble maintenant derrière elles. Cependant,  depuis 7 ans, des milliers d’enfants restent portés disparus dans la région du Lac Tchad.

Beaucoup sont encore captifs de Boko Haram et sujets aux mariages forcés, aux violences sexuelles et à l’esclavage. Plan International exprime sa profonde solidarité avec tous les enfants, particulièrement les adolescentes, qui ont été pris pour cible par la secte salafiste djihadiste.

Venir en aide aux survivantes

Les jeunes filles libérées vont retourner dans leur communauté, parfois enceintes ou avec leurs enfants. Elles devront affronter stigmates et exclusion. Plan International vient en aide à certaines de ces filles au Nigéria et leur apporte un soutien psychologique et un accès à des services de santé.

Nous les aidons également à se ré-intégrer dans leur communauté en leur permettant de suivre des études et de recevoir  une formation professionnelle.

Nous félicitons les autorités locales pour la libération de ces jeunes filles et  nous appelons à la libération immédiate de celles qui sont toujours détenues.

Protéger les enfants en situation d’urgence

En  situation d’urgence, les enfants peuvent être séparés de leur famille et recrutés dans des groupes armés, abusés sexuellement, ou encore victime de trafic. Trop souvent, ils subissent tout cela en même  temps.

Plan International répond aux urgences dans les pays où l’ONG est présente et dans une logique à long terme. 

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